« Boutaïna dans sa cabane en haut de la colline, se glissa discrètement sous la couette qui couvrait ali. La jeune libanaise du sud poussa un petit cri au moment où elle sentit la virilité d’Ali la pénétrer. Elle lui tournait le dos. Ses hanches étaient larges et grasses, et sa croupe était froide, encastrée contre le bas ventre d’Ali. Elle étouffa un nouveau gémissement et se pinça les lèvres tandis qu’en un deuxième mouvement Ali alla plus profondément en elle, laissant échapper toute la détresse enfouis en elle.
Kana Wa Mazala Con, assis à même le sol dans un coin de la pièce, observait distraitement le couple. Il se dit qu’il y avait définitivement quelque chose de sordide qui émanait de ce bouge dont les murs empestaient la sueur et le mauvais vin.
En moins d’une heure c’était la quatrième étreinte à laquelle Boutaïna et Ali se livraient. La tête reposée sur Boutaïna, Ali semblait dormir, mais en réalité il respirait l’odeur de miel de sa peau.
Ils avaient fait l’amour. Ils avaient su d’avance les gestes, les respirations de l’autre, la prescience de leurs désirs réciproque étonnement anticipés. Ils avaient bu l’un à l’autre, leurs lèvres s’étaient mêlées, jointes, épousées…ils s’étaient brûlés, consumés… En vérité, ils n’avaient pas fait l’amour…ils n’avaient fait que se reconnaître.
Maintenant Boutaïna riait. Boutaïna ne savait pas rire discrètement. Son rire résonnait dans la tête de Kana Wa Mazala Con plus fort qu’un blasphème. Il leva son regard vers le couple et vit qu’ils s’étaient enfin dénoués l’un de l’autre. A son grand soulagement, le couple commença à se revêtir.
- Alors, mon frère. Quand donc te décideras-tu à offrir ton pucelage ?
Feignant d’ignorer Ali, Kana Wa Mazala Con haussa les épaules et se leva d’un air sombre, ce qui provoqua un nouvel éclat de rire de la jeune libanaise du sud.
- Ghulam…, dit elle avec une moue amusée…sa jeunesse le rend peut être timide. Ou alors… elle pouffa en plaquant sa paume sur ses lèvres :
- ou alors peut être n’aime t il que les garçons ? elle se pencha vers lui et fit mine de caresser sa joue. Kana Wa Mazala Con saisit son manteau de laine, ouvrit la porte et disparut. »
Kana Wa Mazala Con, assis à même le sol dans un coin de la pièce, observait distraitement le couple. Il se dit qu’il y avait définitivement quelque chose de sordide qui émanait de ce bouge dont les murs empestaient la sueur et le mauvais vin.
En moins d’une heure c’était la quatrième étreinte à laquelle Boutaïna et Ali se livraient. La tête reposée sur Boutaïna, Ali semblait dormir, mais en réalité il respirait l’odeur de miel de sa peau.
Ils avaient fait l’amour. Ils avaient su d’avance les gestes, les respirations de l’autre, la prescience de leurs désirs réciproque étonnement anticipés. Ils avaient bu l’un à l’autre, leurs lèvres s’étaient mêlées, jointes, épousées…ils s’étaient brûlés, consumés… En vérité, ils n’avaient pas fait l’amour…ils n’avaient fait que se reconnaître.
Maintenant Boutaïna riait. Boutaïna ne savait pas rire discrètement. Son rire résonnait dans la tête de Kana Wa Mazala Con plus fort qu’un blasphème. Il leva son regard vers le couple et vit qu’ils s’étaient enfin dénoués l’un de l’autre. A son grand soulagement, le couple commença à se revêtir.
- Alors, mon frère. Quand donc te décideras-tu à offrir ton pucelage ?
Feignant d’ignorer Ali, Kana Wa Mazala Con haussa les épaules et se leva d’un air sombre, ce qui provoqua un nouvel éclat de rire de la jeune libanaise du sud.
- Ghulam…, dit elle avec une moue amusée…sa jeunesse le rend peut être timide. Ou alors… elle pouffa en plaquant sa paume sur ses lèvres :
- ou alors peut être n’aime t il que les garçons ? elle se pencha vers lui et fit mine de caresser sa joue. Kana Wa Mazala Con saisit son manteau de laine, ouvrit la porte et disparut. »
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