Le monde "ne tire pas les leçons de trois mille ans" et par conséquent " vit seulement le jour au jour". la guerre est partout, en Afghanistan contre les talibans (étudiants), en Irak contre un homme (Sadam), au Darfour entre eux (le nord contre le sud), en Colombie entre eux ( farc contre le reste) et la liste est longue. Partout on résiste comme on peut. Des morts, des morts des morts, et personne n'est épargné, vieux femmes et enfants, tout le monde y passe en toute impunité. Quand à l' occident la tension qui y réside se résume en ça: la masse ne peut plus se payer son voyage et ça risque de l'énerver bientôt. La démocratie peut aussi se transformer en cauchemar des fois. Un peu partout ailleurs le malaise est présent.
On peut bien se permettre de dire que la masse est dévorée par une bande de loups qui n'est jamais rassasiée. Vous imaginez ils sont exactement 94 970 sur toute la planète, et ils ont faim...faim faim faim de rolex de Ferrari et d'autres objets pharaonique. Prenons par exemple l'ISF, ce fameux impôt de solidarité sur la fortune, savez vous que son seuil patrimonial correspondrait à 63 années de travail d'un manœuvre dans un pays développé et un peu près 600 années dans un pays émergent. Quand on voit par exemple que dans business week, on recommande de porter deux montres, l'une à 35 000$ la crazy hours avec des chiffres inversés pour attirer l'attention et l'autre à 20 000$ pour lire l'heure, je me dis quelque chose ne tourne pas rond dans ce crazy word. En 1789 le français Condorcet qui a participé à l'élaboration de la déclaration des droits de l'homme et la laïcité dans l'éducation avait dit: "Nul n'a droit au superflu tant que chacun n'a pas le nécessaire" à cette époque l'Europe s'est réveillé comme d'un profond sommeil, comme d'un long rêve. les constitutions sont devenues la base des gouvernements proclamant comme loi fondamentale l'égalité de tous. C’est vrai Dieu a voulu sans doute que les êtres humains aient des jouissances inégales, les uns ont eu une ouïe fines les autres ont les sens les plus obtus, à celui ci les moyens de produire à l’autre que dalle, l’un est doué l’autre est crétin idiot et la liste est longue. L’idéal bien entendu est de se retrouver du bon côté de la répartition. Mais quand on n’a pas cette chance justement de se retrouver du bon côté de la variété, que doit on faire ? se suicider ou se faire éliminer par le bon côté de la variété ? Anatole France écrit dans « histoire contemporaine » : "la loi, dans un grand souci d’égalité, interdit aux riches comme aux pauvres de coucher sous les ponts, de mendier dans les rues et de voler du pain."