How many ears must one person have
before he can hear people cry?
And how many deaths will it take till he knows
that too many people have died?
And how many years can some people exist
before they are allowed to be free?
And hhow many times can a man turn his head
and pretend that he just doesn't see?
The answer, my freind, is blowing in the wind
The answer is blowing in the wind.
"celui qui ne tire pas les leçons de trois milles ans, vit seulement le jour au jour." J.W.G
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samedi, mai 31, 2008
Combien combien combien...
mardi, mai 27, 2008
Le temps

“à l'âge de six ans, j'avais la manie de dessiner les formes des objets. Vers l'âge de cinquante ans, j'avais publié une infinité de dessins, mais rien de tout ce que j'ai produit jusqu'à l'âge de soixante-dix ans ne me plait. C'est à l'âge de soixante-treize ans que j'ai compris à peu près la forme et la nature réelles des oiseaux, des poissons, des plantes, etc. Par conséquent, à l'âge de quatre-vingts ans, j'aurai fait beaucoup de progrès, j'arriverai au fond des choses; à cent ans, je serai décidément parvenu à un état supérieur, indéfinissable, et à l'âge de cent dix ans, que ça soit un point, ou que ça soit une ligne, tout sera vivant. Je demande à ceux qui vivront autant que moi de voir si je tiens parole. "
Écrit, à l'âge de soixante-quinze ans, par moi, autrefois Hokusaï, aujourd'hui Gouakiyo-rôdjin, “le vieillard fou de dessin.”
Écrit, à l'âge de soixante-quinze ans, par moi, autrefois Hokusaï, aujourd'hui Gouakiyo-rôdjin, “le vieillard fou de dessin.”
lundi, mai 26, 2008
La part du gateau
Le monde "ne tire pas les leçons de trois mille ans" et par conséquent " vit seulement le jour au jour". la guerre est partout, en Afghanistan contre les talibans (étudiants), en Irak contre un homme (Sadam), au Darfour entre eux (le nord contre le sud), en Colombie entre eux ( farc contre le reste) et la liste est longue. Partout on résiste comme on peut. Des morts, des morts des morts, et personne n'est épargné, vieux femmes et enfants, tout le monde y passe en toute impunité. Quand à l' occident la tension qui y réside se résume en ça: la masse ne peut plus se payer son voyage et ça risque de l'énerver bientôt. La démocratie peut aussi se transformer en cauchemar des fois. Un peu partout ailleurs le malaise est présent.
On peut bien se permettre de dire que la masse est dévorée par une bande de loups qui n'est jamais rassasiée. Vous imaginez ils sont exactement 94 970 sur toute la planète, et ils ont faim...faim faim faim de rolex de Ferrari et d'autres objets pharaonique. Prenons par exemple l'ISF, ce fameux impôt de solidarité sur la fortune, savez vous que son seuil patrimonial correspondrait à 63 années de travail d'un manœuvre dans un pays développé et un peu près 600 années dans un pays émergent. Quand on voit par exemple que dans business week, on recommande de porter deux montres, l'une à 35 000$ la crazy hours avec des chiffres inversés pour attirer l'attention et l'autre à 20 000$ pour lire l'heure, je me dis quelque chose ne tourne pas rond dans ce crazy word. En 1789 le français Condorcet qui a participé à l'élaboration de la déclaration des droits de l'homme et la laïcité dans l'éducation avait dit: "Nul n'a droit au superflu tant que chacun n'a pas le nécessaire" à cette époque l'Europe s'est réveillé comme d'un profond sommeil, comme d'un long rêve. les constitutions sont devenues la base des gouvernements proclamant comme loi fondamentale l'égalité de tous. C’est vrai Dieu a voulu sans doute que les êtres humains aient des jouissances inégales, les uns ont eu une ouïe fines les autres ont les sens les plus obtus, à celui ci les moyens de produire à l’autre que dalle, l’un est doué l’autre est crétin idiot et la liste est longue. L’idéal bien entendu est de se retrouver du bon côté de la répartition. Mais quand on n’a pas cette chance justement de se retrouver du bon côté de la variété, que doit on faire ? se suicider ou se faire éliminer par le bon côté de la variété ? Anatole France écrit dans « histoire contemporaine » : "la loi, dans un grand souci d’égalité, interdit aux riches comme aux pauvres de coucher sous les ponts, de mendier dans les rues et de voler du pain."
vendredi, mai 23, 2008
Mes Origines
Le nom de famille Harrak (الحراق en arabe), se rapporte au dernier nom porté par les familles marocaines du nord qui descendent des fils d'Al-Harrak. Al Harrak est un des descendants directs du prophète Muhammad (Mahomet) par Ali ibn Abi Talib et Fatima Zahra.
Les descendants d'Al Harrak portent les noms de famille de : Harrak, Al Harrak, Harrak Srifi, Al Srifi de Harrak d'Al, et également EL Harrak. Quelques autres nominations existent comme : Charif, Sherif, ou Sayyid Al Harrak. Sharif et Sayyed (aussi Sayid, Sayyid et Sayed) sont des termes utilisés pour les descendants du prophète Muhammad (Mahomet).
Les famillies de Harrak proviennent de la tribu de Srif connue également comme Ahl Srif, et ils sont de la branche d'Idrissites Alawite Musawite. [1],[2].
Harrak Sidi Muhammad est le fils de Muhammad fils d'Abdelouahid fils de Yahya fils d'Omar fils de Hassan fils de Husayn fils d'Ali fils de Muhammad fils d'Abdullah fils de Youssef fils d'Ahmad fils de Husayn fils de Malik fils d'Abdelkrim fils de Hamdoun fils de Moussa (frere d` Abdeslam Ben Mchich Alami) fils de Mchich fils d'Abi Bakr fils d'Ali fils d'Abu Hurma fils d'Issa fils de Salam al-Arous fils d'Ahmad Mizouar fils d'Ali Haïdara fils de Muhammad fils d'Idris II fils d'Idris I fils d'Abdullah Al-Kamel fils de Hassan al-Mouthana fils de Hassan al Sibt fils d'Ali Ibn Abi Talib et de Fatima Zahra fille de prophète Muhammad.[3]
Sidi Muhammad Harrak est mort en 1884. Considéré par plusieurs historiens comme un chef notable dans l'histoire du soufisme au Maroc. Il était célèbre de par son rôle religieux et culturel. Son livre de poésie et sagesse connu sous le nom de Diwan al Harrak en est un exemple. La Zaouiya (établissement religieux) de Harrak fait parti de l'héritage de Sidi Muhammad. [4]
Diwan al Harrak est une source valable qui est employée souvent comme référence dans l'étude de l'histoire religieuse et de la littérature au Maroc. Harrak et d'autres familles de Sayyid (Chorfah) au Maroc étaient sujets d'études et de recherche par des savants et les autorités religieuse musulmanes tels que Ayatollah Muhammad Ali Taskhiri qui est le chef de l'Assemblée international pour le rapprochement des écoles de pensées islamiques. Ce dernier est connu pour être non seulement pour le discours trans-islamique mais également pour un discours intra-religieux. Le Président russe Poutine dans la Conférence de Moscou sur la religion, où le monde musulman était représenté par Ayatollah Taskhiri, a qualifié les efforts de ce dernier comme importants pour le Progrès humain. [5]
Les familles de Sayyid au Maroc ont connu le même sort que leurs cousins en Irak. Ashoura s'est répété dans le Maghreb environ un siècle après la tragédie de Kerbala. Il a été rapporté par le juge Ali Hachlaf al-Jazaa'eri que plus de 400 membres des descendants de Moulay Idriss ont été tué et décapités par l'armée de Moussa Ibn Abi Al-Afia al Meknassi vassale des Fatimides. [6].
Après cette persécution, les descendants du prophète Muhammad ont émigré - principalement - vers le montagne d'Al Alam et la région de Hajar Al Nasr au nord du Maroc (triangle de Larache-Tétouan-Tanger). Cependant, cela n'a pas duré trop long, comme dans les territoires commandés par les califs musulmans du Moyen-Orient actuel. Au Maroc, après seulement quelques décennies de persécution, les familles de Sayyid (Chorfa) ont regagné la reconnaissance et la protection de la plupart des dynasties qui ont suivi la grande période de persécution mentionnée.
Les descendants d'Al Harrak portent les noms de famille de : Harrak, Al Harrak, Harrak Srifi, Al Srifi de Harrak d'Al, et également EL Harrak. Quelques autres nominations existent comme : Charif, Sherif, ou Sayyid Al Harrak. Sharif et Sayyed (aussi Sayid, Sayyid et Sayed) sont des termes utilisés pour les descendants du prophète Muhammad (Mahomet).
Les famillies de Harrak proviennent de la tribu de Srif connue également comme Ahl Srif, et ils sont de la branche d'Idrissites Alawite Musawite. [1],[2].
Harrak Sidi Muhammad est le fils de Muhammad fils d'Abdelouahid fils de Yahya fils d'Omar fils de Hassan fils de Husayn fils d'Ali fils de Muhammad fils d'Abdullah fils de Youssef fils d'Ahmad fils de Husayn fils de Malik fils d'Abdelkrim fils de Hamdoun fils de Moussa (frere d` Abdeslam Ben Mchich Alami) fils de Mchich fils d'Abi Bakr fils d'Ali fils d'Abu Hurma fils d'Issa fils de Salam al-Arous fils d'Ahmad Mizouar fils d'Ali Haïdara fils de Muhammad fils d'Idris II fils d'Idris I fils d'Abdullah Al-Kamel fils de Hassan al-Mouthana fils de Hassan al Sibt fils d'Ali Ibn Abi Talib et de Fatima Zahra fille de prophète Muhammad.[3]
Sidi Muhammad Harrak est mort en 1884. Considéré par plusieurs historiens comme un chef notable dans l'histoire du soufisme au Maroc. Il était célèbre de par son rôle religieux et culturel. Son livre de poésie et sagesse connu sous le nom de Diwan al Harrak en est un exemple. La Zaouiya (établissement religieux) de Harrak fait parti de l'héritage de Sidi Muhammad. [4]
Diwan al Harrak est une source valable qui est employée souvent comme référence dans l'étude de l'histoire religieuse et de la littérature au Maroc. Harrak et d'autres familles de Sayyid (Chorfah) au Maroc étaient sujets d'études et de recherche par des savants et les autorités religieuse musulmanes tels que Ayatollah Muhammad Ali Taskhiri qui est le chef de l'Assemblée international pour le rapprochement des écoles de pensées islamiques. Ce dernier est connu pour être non seulement pour le discours trans-islamique mais également pour un discours intra-religieux. Le Président russe Poutine dans la Conférence de Moscou sur la religion, où le monde musulman était représenté par Ayatollah Taskhiri, a qualifié les efforts de ce dernier comme importants pour le Progrès humain. [5]
Les familles de Sayyid au Maroc ont connu le même sort que leurs cousins en Irak. Ashoura s'est répété dans le Maghreb environ un siècle après la tragédie de Kerbala. Il a été rapporté par le juge Ali Hachlaf al-Jazaa'eri que plus de 400 membres des descendants de Moulay Idriss ont été tué et décapités par l'armée de Moussa Ibn Abi Al-Afia al Meknassi vassale des Fatimides. [6].
Après cette persécution, les descendants du prophète Muhammad ont émigré - principalement - vers le montagne d'Al Alam et la région de Hajar Al Nasr au nord du Maroc (triangle de Larache-Tétouan-Tanger). Cependant, cela n'a pas duré trop long, comme dans les territoires commandés par les califs musulmans du Moyen-Orient actuel. Au Maroc, après seulement quelques décennies de persécution, les familles de Sayyid (Chorfa) ont regagné la reconnaissance et la protection de la plupart des dynasties qui ont suivi la grande période de persécution mentionnée.
Le cerceuil d'or

Ma vie est un roman! je n'ai pas besoin d'en inventé, j'y suis dedans et vous avez de la chance parce qu'on ce moment j'atteins le summum de l'émotion romanesque. Si c'est bien l'imagination qui sépare le monde réelle du monde imaginaire, je suis donc l'imagination "mes dames et mes dames": je suis l'imagination et donc je suis le roman. Sauf que l'émotion engendrée par même le plus grand roman, reste éphémère. Tandis que mon roman à moi est éternelle. Il ne finit jamais et déborde tellement d'imagination que je n'arrive plus à le suivre.
Ma vie, (mon roman) a commencé un 23 juillet de l'année 1969, à deux jours un peu près de la découverte de la lune. "Un petit pas pour l'homme, un grand pas pour l'humanité." Vous connaissez bien sûr l'expression d'Armstrong. Moi c'est un petit bébé dans le monde, un grand bébé pour l'éternité. La même année, quelques jours plus tard New York fêta ma naissance avec l'ouverture du grand festival de Woodstock, les plus grands chanteurs et musiciens de mon époque décidèrent de célébrer ma venue dans le monde. Enfin pour coroner le tout et, pour mettre tout le monde au courant de la naissance prodige, Internet fut inventer.
Hasard ou coïncidence, qui sait?
Enfant, je voulais être chanteur. je chantais tout le temps et je gagnais toujours plus que les autres enfants. Après je voulais apprendre pour pouvoir écrire, mais malheureusement aucune motivation dans mon environnement n'était présente. Ado, je voulais être artiste, mais je n'ai jamais trouvé "dans quoi je voulais être artiste!".
Majeur, je m'ennuyais. Mais je m'ennuyais! Je commençais à stresser, à compter les jours, à regarder le temps passer et à me regarder passer à côté. C'est alors que je découvre le roman. Une expérience extraordinaire. Il te transporte dans le temps tel un divin observant ses créatures s'agiter et parader sur la scène.
Mais je stressais quand même. Le temps, le travail, la réussite, le monde, l'amour, la famille, les amis, les enfants, les livres, les aventures... comment je peux gérer tout ça en une seule petite vie. Comment?
C'est en me murissant un peu que j'ai découvert la solution à mon stress. Je fais les choses à moitié, et là j'ai presque le temps de tout faire.