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vendredi, février 19, 2010

Chère Toi

Petite pensée à l'heure du crépescule, alors que ton train roule. Timidité de la feuille blanche, habitude perdue de l'âme qui parle...
Rien n'est plus agréable, pourtant, que cette petite brise qui frissonne sur un coeur endormi. Les ombres se font mouvantes dans la pièce, une lumière qui vacille et un chat ranronnant.

Et toujours, bien sûr, cette fenêtre ouverte.

Fenêtre ouverte sur la vie, ce souffle vital qui ressemble à la mère; et les couleurs qui dansent au plafond.
Et tandis que tu t'éloigne je te sens. Puissante libérté d'un coeur serein. Et ton train file, vole, s'arrête et puis repart.

Avec toujours de la lumière à tes fenêtres et l'ombre de ton visage dans la nuit.


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"L'homme parle comme il veut mais écrit comme il est" Cior