"Il se constitue maintenant de plus en plus un espèce de processus, rationnellement universel, de développement de tous les pays qui sortent d'une structure médiévale et coloniale, et on a pas le droit de qualifier ce processus de communiste ou de socialiste ou de religieux, parce que le processus s'impose de lui même devant des problèmes semblable." Ben Berka.
Je me suis dis, s'il était là, s'il pouvait intervenir maintenant, nous serons peut être orienter vers des thèmes un peu plus constructif. on créerait un conseil communal par exemple, qu’ aurait comme tâche principale la coordination et l'intégration des activités des organisations déjà en place dans la communauté. On s’attribuerait des missions diverses, comités de terre urbaine, comités culturelle etc. notre conseil communal préparait après en assemblée "le diagnostic participatif" On mettrait en avant les priorités des besoins: l'approvisionnement en eau potable, évacuation des eaux usées, centre de soin etc. une vrai assemblé de citoyens. nous aurions des idées, de vrais idées, nous serions épanoui. parce que là nous frôlons le ridicule les gars. nous sommes devenu bête et ridicule et je pèse mes mots.
je vous souhaite à toutes et à tous un 3id plein de bon sens, la santé la santé la santé
"celui qui ne tire pas les leçons de trois milles ans, vit seulement le jour au jour." J.W.G
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mercredi, mai 30, 2007
mardi, mai 15, 2007
CYRANO
"Pouvoir se parler tendrement sans se voir on se devine à peine. Je crois vous parler pour la première fois. J’ose être enfin moi-même. Oui j’ose. C’est si délicieux si nouveau, d’être sincère, et ne plus avoir peur d’être rayé toujours du cœur ulcère. Rayer d’un élan. Mon cœur s’habille toujours par pudeur de mon esprit. Oh l’esprit ! je le haie dans l’amour. C’est un crime lorsque l’on aime de trop. Mais le moment vient d’ailleurs, inévitablement. Et je plains ceux pour qui il ne vient pas. Lorsque nous nous sentons, quand chaque joli mot que nous disons rend triste. C’est fou maintenant je vous parle et vous vous m’écoutez. Dans mon espoir même le moins modeste, je n’ai jamais espéré tant. Alors que l’amour vienne, cette ivresse c’est moi. Moi qui l’ai su causer, je ne demande qu’une chose, qu’une seule petite chose. Un baiser ! un baiser à tout prendre, un serment fait un peu plus près, une promesse plus précise, un aveux qui veut se confirmer. Un point rose qu’on met sur le i du mot aimer. Un secret qui prend la bouche pour l’oreille. Un instant d’infini qui fait un bruit d’abeille, une communion ayant un petit bout de fleur, une façon d’un peu se respirer le cœur et d’un peu se goûter aux bords des lèvres."
mercredi, mai 09, 2007
Le Coran n'st pas coupable
Sais tu qu’un peu plus de milles ans avant la naissance de « Jésus de Nazareth, appelé aussi le Christ », Athènes fut la capitale du monde et la langue grecque fut pratiquer dans plusieurs coins du globe. On raconte qu’à l’époque, la notion de frontière n’existait pas. J’aurais bien aimé voir ça de mon vivant. L’Agora d’Athènes était le centre culturel du monde. C’était un marché regorgé de denrées et d’idées venus du monde entier. Dans cette époque régnait partout dans le monde des récits sur les dieux. On appel ça des mythes. Dans la mythologie grecque, on trouve par exemple Zeus, Apollon, Héra, Athéna, Dionysos, Asclépios, Héraclès, Héphaïstos etc. Pour expliquer des phénomènes naturels et humains, les grecs imaginaient une histoire, qui ensuite devient une croyance transmise à des générations.Vers un peu près sept cents ans avant Jésus Christ, Homère et Hésiode, deux sophistes de l’époque grecque ont eu le génie de retranscrire pour la première fois les mythes grecs . Le résultat fut épatant. Grâce aux retranscriptions de ces deux sophistes d’Athènes, les mythes sont devenus pour la première fois dans l’histoire de l’homme, l’objet de plusieurs critiques, marquant en quelques sortes le début de la pensée humaine expérimentale et raisonnable. Je voulais dire par ça que les deux journalistes à l'origine de tout ce bruit sont nos Homère et Hésiode.
Goethe a dit un jour: « celui qui ne tire pas les leçons de trois milles ans, vit seulement au jour le jour » goutes un peu ces mots ça vaut tous les discours du monde.
Goethe a dit un jour: « celui qui ne tire pas les leçons de trois milles ans, vit seulement au jour le jour » goutes un peu ces mots ça vaut tous les discours du monde.