la question qui se pose est comment faire aimer la lecture à un petit marocain, comment créer une culture de la lecture chez le marocain?
la réponse est simple et simpliste: on désigne un membre de la famille, pas forcément le papa ou la maman, (ceux ci généralement ne savent ni lire ni écrire) quelqu'un de la famille qui sait lire et bien, et on lui confie la tâche de faire de la lecture le soir à tous les petits enfants de la famille et pourquoi pas du quartier s'il le faut, et tous les soirs. "Everything is connected in the Greet cercle of life" dirait Simba. Ce garçon qui fera la lecture aux enfants ira directement au paradis même s'il n'avait jamais mis les pieds dans une mosquée ( il blasphème!)
Si vous voulez qu'on parle dieu, allons y : Le saint livre le coran nous met bien en garde contre l'ignorance :"ne sont pas égaux devant dieu ceux qui savent et ceux qui ne savent pas". C’est écrit noir sur blanc, dieu privilégie ceux qui savent. Et nous, nous savons que dalle. alors fermons nos gueules, et laissons les faire, peut être qu'eux, contrairement à ceux qui pendant des décennies nous enfoncent dans l'ignorance et l’obscurantisme, auront plus pitié de notre misère intellectuelle et feront bouger les choses.
Logiquement, et franchement de nous deux, (monde arabo-musulman à majorité écrasante analphabète et monde occidental à majorité savante) qui est le plus proche de dieu ? Logiquement nous devrions être des minus devant dieu.
Dieu préfère, et de loin, ceux qui savent et qui cherche à savoir encore plus, les curieux intellectuellement, les scientifiques, les artistes et les philosophes...Dieu préfèrent ceux qui créent qui innovent qui construisent qui travaillent et qui travaillent. "AL 3amalou 3ibada", le travail est prière.
C'est en appelant le savoir, en appelant l'ouverture, en s'adaptant au temps qu'on peut changer notre condition de vie et non pas en appelant à al jihad.
"Al Jihad fi sabili allah" existait dans un temps où le prophètes et ses disciples étaient persécutés jusqu'à être interdit de se rassembler, alors qu'ils ne faisaient que penser et débattre. Ils pensaient au juste, à l'avenir, à la société idéale, à l'éducation idéale, à l'équilibre idéale, à l'égalité des humains, aux droits communs... Que d'idées nobles et justes pour un future sain et prospère. Le Jihad était une sorte de révolution contre l'oppresseur pour plus de droit, plus de justice et plus de liberté. Aujourd'hui je ne comprend pas pourquoi ni comment peut-on assimiler l'acte qui consiste à tuer le maximum d'innocents possible au Jihad !
Qui décrète quoi au nom de l'Islam ?
Voilà pour la parenthèse Jihad, revenons maintenant au livre et son impacte à long terme sur le développement de la société marocaine. Il est important de sortir l'enfant marocain de son environnement familial souvent pauvre culturellement et d'installer des espaces de lecture dans les quartiers populaires afin d'éradiquer l'illettrisme et de stimuler la future productivité de la main d'oeuvre marocaine.
la réponse est simple et simpliste: on désigne un membre de la famille, pas forcément le papa ou la maman, (ceux ci généralement ne savent ni lire ni écrire) quelqu'un de la famille qui sait lire et bien, et on lui confie la tâche de faire de la lecture le soir à tous les petits enfants de la famille et pourquoi pas du quartier s'il le faut, et tous les soirs. "Everything is connected in the Greet cercle of life" dirait Simba. Ce garçon qui fera la lecture aux enfants ira directement au paradis même s'il n'avait jamais mis les pieds dans une mosquée ( il blasphème!)
Si vous voulez qu'on parle dieu, allons y : Le saint livre le coran nous met bien en garde contre l'ignorance :"ne sont pas égaux devant dieu ceux qui savent et ceux qui ne savent pas". C’est écrit noir sur blanc, dieu privilégie ceux qui savent. Et nous, nous savons que dalle. alors fermons nos gueules, et laissons les faire, peut être qu'eux, contrairement à ceux qui pendant des décennies nous enfoncent dans l'ignorance et l’obscurantisme, auront plus pitié de notre misère intellectuelle et feront bouger les choses.
Logiquement, et franchement de nous deux, (monde arabo-musulman à majorité écrasante analphabète et monde occidental à majorité savante) qui est le plus proche de dieu ? Logiquement nous devrions être des minus devant dieu.
Dieu préfère, et de loin, ceux qui savent et qui cherche à savoir encore plus, les curieux intellectuellement, les scientifiques, les artistes et les philosophes...Dieu préfèrent ceux qui créent qui innovent qui construisent qui travaillent et qui travaillent. "AL 3amalou 3ibada", le travail est prière.
C'est en appelant le savoir, en appelant l'ouverture, en s'adaptant au temps qu'on peut changer notre condition de vie et non pas en appelant à al jihad.
"Al Jihad fi sabili allah" existait dans un temps où le prophètes et ses disciples étaient persécutés jusqu'à être interdit de se rassembler, alors qu'ils ne faisaient que penser et débattre. Ils pensaient au juste, à l'avenir, à la société idéale, à l'éducation idéale, à l'équilibre idéale, à l'égalité des humains, aux droits communs... Que d'idées nobles et justes pour un future sain et prospère. Le Jihad était une sorte de révolution contre l'oppresseur pour plus de droit, plus de justice et plus de liberté. Aujourd'hui je ne comprend pas pourquoi ni comment peut-on assimiler l'acte qui consiste à tuer le maximum d'innocents possible au Jihad !
Qui décrète quoi au nom de l'Islam ?
Voilà pour la parenthèse Jihad, revenons maintenant au livre et son impacte à long terme sur le développement de la société marocaine. Il est important de sortir l'enfant marocain de son environnement familial souvent pauvre culturellement et d'installer des espaces de lecture dans les quartiers populaires afin d'éradiquer l'illettrisme et de stimuler la future productivité de la main d'oeuvre marocaine.
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