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jeudi, juin 19, 2008

produire


Productif productif productif, il faut être tout le temps productif, sinon la vie n’aurait aucun sens. Quel est l’intérêt de respirer sans produire quand on a passé presque quarante ans de sa vie à observer et à essayer de comprendre ce qui se produit autour de sois ? quand on a pigé qu’il y a vraiment rien à piger dans tout ça, on a commencé à produire aussi. On passe de l’état passif à l’état actif. Avec un peu de retard mais beaucoup plus prévoyance. Ce qui fait donc gagner du temps et « peut être » combler le retard. Qui sait !

samedi, juin 14, 2008

Notre belle histoire



Le désir de savoir qui nous sommes fut l'occupation de toute l'histoire de l'humanité. Celui qui se pose des questions sur l'origine du cosmos, de la terre et de la vie rejoint l'histoire de l'homme pensant et j'espère que nous en faisons partie. C’est aussi important que de savoir si notre équipe nationale avait gagné la coupe d'Afrique, ou si Sofia avait emportée la star ac. Goethe avait dit un jour :"celui qui ne sait pas tirer les leçons de trois milles ans, vit seulement le jour au jour". Il faut découvrir ses racines historiques, ses ancêtres. Je considère la culture romaine catholique, la culture romaine orientale et la culture arabe comme étant les ruisseaux de la grande rivière de la culture grecque. Vers un peu près sept cents ans avant Jésus Christ, Homère et Hésiode, deux sophistes de l’époque grecque ont eu le génie de retranscrire les mythes pour la première fois. Le résultat fut incroyable !Grâce à ces deux sophistes d’Athènes et à leur retranscription, les mythes sont devenus pour la première fois de l’histoire de l’homme, l’objet de plusieurs critiques, marquant en quelques sortes le début de la pensée humaine expérimentale et raisonnable. Le premier penseur fut Thalès, né à Milet en Asie mineur, qui fut une colonie grecque, en l'an 550 avant la naissance du Christ. Milet disait que l'eau était à l'origine de toute chose (comme dans le coran : wa ja3alna mina almaai koula chai in 7ay). Puis vint Anaximandre (le deuxième penseur qui vécut en même temps que Thalès), lui soutenait le fait que "ce qui est à l'origine de tout est différent de ce qui se crée. » le fameux “si oh quel si” de Darwin.
Apprenons à nos enfants de se poser des questions, De penser, D’analyser et surtout ne croyez pas tout connaître. N’oublions pas la petite phrase de Socrate, quand il dit : « tout ce que je sais, c’est que je ne sais rien”

mercredi, juin 04, 2008

L'Afrique et je meurs




L'afrique vivra un jour la même histoire qu'a connu les sud- américains et l'Espagne. les métropolitains parlerons une langue orgueilleuse avec un ton rigide et les africains une langue plus souple plus mélodique et par conséquence, mieux compris par les francophones et les non francophones.


Les africains quand ils sauront un jour produire aussi des idées, ils seront chef de leur destin et brilleront. Et c'est pareil pour les autres. Moins on produit d'idées plus on sombre. Logique, on passe notre temps à acheter jusqu'a ce que les poches se vident pour faire la manche. Le sol africain comme le japonais d'ailleurs, est pauvre en ressources naturelles. Le japon a trouvé une solution pour remedier à cette carence, elle est simple et s'appelle "EDUCATION".
C’est nous les Africains
Qui revenons de loin
Nous venons des colonies
Pour sauver la patrie
Nous avons tout quitté
Parents, gourbis, foyers
Et nous avons au cœur
Une invincible ardeur
Car nous voulons porter haut et fier
Le beau drapeau de notre France entière
Et si quelqu’un venait à y toucher
Nous serions là pour mourir à ses pieds
Battez tambours, à nous amours
Pour le pays, pour la patrie
Mourir au loin
C’est nous les Africains.
Nous étions au fond de l’Afrique
Gardiens jaloux de nos couleurs,
Quand sous un soleil magnifique
A retenti ce cri vainqueur
En avant, en avant, en avant !
Pour le salut de notre empire
Nous combattons tous les vautours
La faim, la mort nous font sourire
Quand nous luttons pour nos amours
En avant, en avant, en avant !
Pour le salut de notre empire
Nous combattons tous les vautours
La faim, la mort nous font sourire
Quand nous luttons pour nos amours
En avant, en avant, en avant !
De tous les horizons de France
Groupés sur le sol africain
Nous venons pour la délivrance
Qui par nous se fera demain
En avant, en avant, en avant !